titre : Les Picapoches, à l'assaut des mØmbres vaudous
4ème de couverture :
Qu’est-ce qui peut pousser Martin et ses amis, élèves de 6e, à devenir du jour au lendemain une bande de pickpockets ? Et qui est cette mystérieuse Voix qui leur ordonne, par téléphone, de voler les smartphones des passants ? Face à une épidémie maléfique qui tue les habitants de leur petite ville, les cinq « Picapoches » auront pour mission d’empêcher Lazare Tremoldov et ses inquiétants sbires, les mØmbres, d’envoûter la population à l’aide d’une application numérique… Ils devront pour cela apprendre à piquer dans les poches, se découvrir des pouvoirs insoupçonnés, affronter leur terrible professeure de français, Mortadella, et aller au coeur de la demeure d’un prêtre vaudou qui ne rêve que d’une chose : faire de nous tous ses esclaves zombies.
Avis :
Merci aux éditions Sarbacane pour cette lecture.
J’ai passé un agréable moment avec ce nouveau Pépix. Un jour, Martin reçoit un étrange colis, une Voix lui donne une mission par téléphone : sauver le monde des MØmbres. Bien sûr, Martin croit à une blague, mais il finit par réunir ses amis, Isha, Manolo, Louise et Yacine et ensemble, ils vont devoir faire confiance à la Voix pour sauver les habitant de Digne-les-Bains d’une mort étrange.
L’idée est originale, à la fois amusante et pédagogique (attention au téléphone). Et puis le mot "picapoche" est vraiment génial, il fallait l'inventer !
On voit que le gang des Picapoches est soudé, et j’aime l’amitié de ces cinq enfants, l’entraide et les punchlines amicales. Les remarques que Martin nous destinait, à nous lecteurs, étaient elles aussi bien revigorantes.
Les Picapoches, À l’assaut des mØmbres vaudous, c’est un roman d’espionnage revisité. Les nouveaux James Bond ? Des enfants de 6ème de Digne-les-Bains . Je m’attendais donc à un peu plus de gadgets, je les aurais préférés aux « signes particuliers ». Quoique cette partie était quand même adorable : chaque enfant, chaque individus, possède en sois une qualité exceptionnelle, utile.
Ma seule déception est le rôle de Mortadella, leur professeur de français. J’aurais aimé qu’elle n’est pas un si mauvais rôle à la fin du livre, vous savez, retournement de situation et la vilaine prof est en réalité sympathique, quand on comprend son fonctionnement.
En bref, encore une bonne lecture que je ferai bien lire à mon petit frère…
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