titre : Nos étoiles contraires ou The fault in our stars
auteur : John Grenn
éditions : Nathan
genre : amour, drame...
pour : à partir de 13 ans
Pour vous donner envie:
Hazel et Gus ont tous les deux un cancer. Mais le livre n'est pas une histoire de cancer, mais plutôt une histoire d'amour ; parce qu'ils vont s'aimer, s'aimer comme Hazel n'a jamais aimé personne.
Ce que j'en ai pensé:
J'avais tellement envie de lire ce livre, mais avec tous les éloges entendus, j'avais peur d'être déçue.
Je viens juste de le terminer et jamais je n'ai lu un livre pareil. Au début j'ai voulu arrêter le préférant à des livres plus gais, mais je n'ai pas réussi à le lâcher, et encore moins à le refermer.
Hazel, 16 ans, a le cancer, diagnostiquée à 13 ans, elle s'est toujours vue condamnée. Elle détestait ce groupe de soutient auquel sa mère voulait qu'elle assiste, jusqu'au jour où Augustus Waters se présente. Elle va petit à petit tomber amoureuse, vraiment amoureuse. Mais la Mort décide toujours pour les autres...
C'est elle qui est la narratrice.
Dès le début je l'ai aimée, tout comme j'ai aimé Gus, Isaac, Patric...
John Grenn a bien fait de le préciser : l'importance de Nos étoiles contraires n'est pas de prendre conscience des malheurs du cancer, mais qu'on peut quand même vivre avec (en tout cas, c'est ce que j'ai cru comprendre). Mais je n'ai pu m'empêcher d'être triste en pensant à tout ces gens atteint de la maladie, qui meurent, beaucoup trop jeunes.
J'avais déjà pleuré pour un livre, mais jamais comme ça. C'est un énorme coup de coeur et, avec Terrienne, le meilleur livre que je n'ai jamais lu pour l'instant.
Question couverture, elle est toute simple et en même tant, très belle. Et (je sais que c'est étrange, mais bon...) je la trouve douce et agréable au touché.
J'ai hâte de voir le film.
Coup de coeur!
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